Terrains de boules, transats, botte de bailles et potager : c’est le cadre champêtre que vous propose Loucau, un glacier pas comme les autres, pour des moments de détente et de gourmandise en pleine nature.
En pleine campagne aixoise, après Puyricard, Théo et Méghan ont décidé d’ouvrir un espace bucolique pour accueillir les aixois et autres visiteurs de passage en manque de verdure et de tranquillité.
A côté de la serre, du jardin d’aromatiques et du vergers où poussent les fruits qui leur servent à confectionner leurs glaces artisanales, ils ont disposé tables, chaises et transats afin de déguster à l’ombre et au bon air leurs derniers parfums : citron basilic, sésame, noir, pêche, framboise, calisson, noisette torréfiées, autant de glaces fabriquées maison avec des fruits frais.
Au bout du chemin, vous laisserez votre véhicule sur un petit parking avant de marcher vers cette république autonome du farniente et ses accents bucoliques, petit paradis sécurisé pour les enfants. Pensez à covoiturer car les places sont limitées.
Un container a été transformé en buvette pour vous approvisionner en glaces et sorbets bien sûr, mais aussi en boissons : vins du Château de Beaupré, bières Bulles de Provence, mais aussi des infusions glacées et une citronnade maison.
L’offre salée est, elle, assez limitée (planche mixte charcuterie-fromages) mais s’étoffe parfois des produits de food trucks invités. Une proposition de grillades serait la bienvenue…
Si l’envie de taquiner le bouchon vous prend, on vous prête des boules de pétanque sur place mais aussi les jeux de Spolky, Spike Balm.
Les très bonnes playlists de l’après-midi se transforment parfois durant la soirée en Dj’s sets plus dansants, transformant l’espace en sympathique guinguette sous les étoiles.
Le public familial de la fin d’après-midi laisse ainsi sa place en soirée à une clientèle plus jeune et festive.
Le Petit Plus : Régulièrement Loucau glacier accueille sur son terrain des cours de sports ainsi que des ateliers culturels (programmation à surveiller sur les réseaux sociaux).
Par Eric Foucher / texte et photos